Aucune photographie ne pourra vous donner une idée du choc - le mot n'est pas trop fort - que vous ressentirez si comme moi, vous avez la chance de vous faire ouvrir la porte de cet immeuble bourgeois. De l'extérieur en effet, rien ne signale la présence en ces lieux du dernier vestige de ce qui fut le réfectoire de l'abbaye. Etonnamment, les démolisseurs à l'oeuvre après la révolution "oublièrent" cette arche à laquelle il ne manque aujourd'hui que les vitraux.
Dès l'entrée dans ce hall ultra-moderne, ces vieilles pierres détonnent
Sur ce plan, j'ai surligné le réfectoire en rouge
Dans cet immense espace vide, un escalier en colimaçon, et le choc...
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